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12 Questions
DrAsmaagygy a posé une question
Il y a 8 mois
Bonsoir
Je suis ressortissante française ayant effectué mon parcours de medecine hors Union Européenne je suis gynécologue obstétricienne et je compte rentrer en France.
Quel sont les procédures possibles pour exercer en France et quel poste pourrais je prendre ?
Merci de me répondre chers confrères/consoeurs
Utilisateur anonyme a posé une question
Il y a 4 ans
Bonjour, je voulais savoir si vous avez déjà été confrontés à ce genre de situation :je suis gynéco et une jeune fille de 13 ans est venue me voir en me demandant une prescrip-tion de pilule à vocation contraceptive, mais ses parents ne sont pas au courant.Déontologiquement, que faut-il faire ?merci pour vos retours
4 ans
Bonjour durant mon exercice (40 àns) je ne l'ai jamais prescrit ni pratiqué . J' ai toujours favorisé d'autres méthodes contraceptives dans un premier temps ; une information et une éducation sexuelle reconduite ; favoriser les échanges avec les parents .
4 ans
Faire une ordonnance en notant dessus "contraception mineure" et la pharmacie délivre la pilule gratuitement sans la carte vitale et se fait rémunérer directement par la sécu
4 ans
personnellement je commence par lui prescrire une pilule du type cerazette et je lui dis d'utiliser quand même les préservatifs
Utilisateur anonyme a posé une question
Il y a 3 ans
Bonjour. En tant que gynécologue, je constate que depuis 10 ans environ, les femmes – de tous âges – se méfient toujours plus de la pilule et plus généralement, des modes de contraception hormonale. Problème, dans le même temps, le nombre d’IVG augmente (+3% rien qu’entre 2017 et 2018…). Aujourd’hui, je ne sais plus comment m’y prendre pour raisonner mes patientes, qui remettent sans cesse ma parole en doute, malgré mes 12 ans d’études… Puisqu’elles ont déjà tout vérifié sur Internet avant de venir me voir ! C’est difficile à vivre, la motivation n’est plus la même qu’à mes débuts, je dois le reconnaître. Et vous, faites-vous le même constat de « défiance » permanente ? Auriez-vous des conseils ? Merci. Hortense
3 ans
Retraité depuis plus de deux ans votre question aborde 3 sujets: une défiance qui prime de plus en plus, internet et les médias, qui font partie intégrante de notre société, et enfin notre place de médecin dans un choix de contraception....... A titre personnel , j'opterais ( comme je le pratique avec mes petites filles) pour une information "la plus claire et loyale" possible au vu des données actuelles de la science , et un accompagnement individualisé.
3 ans
Bonjour je pense qu'effectivement elles ont raison je vous explique pourquoi le nombre d'IVG est stable environ 220 000 par an et la pilule est vendu avec un indice de Pearls à environ 0,3 dans les études mais il y a d'autres chiffres ceux de l'OMS qui donne les résultats dans la vrai vie la pilule est à 8 alors que le stérilet au cuivre est à 0,8 le Mirena 0,2 ( plus efficace que la ligature des trompes ) et l'implant 0,05 . Voilà je vous ai donner les chiffres de têts à vérifier sur le site de l'HAS mais on le trouve partout . JE suis à votre disposition pour parler de ce sujet qui me passionne . Bonne soirée
3 ans
Je suis un "vieux" de 64 ans et je fais les mêmes constatations que vous. Cependant, je garde une "motivation" malgré les petites difficultés ici et là (plainte d'un mari qui battait sa femme à qui j'ai eu la maladresse de faire un certificat pourtant très neutre. Le Conseil de l'Ordre me convoque pour certificat "dévoyé"....). Les résistances à nos conseils et prescrip-tions sont fréquentes mais pas tant que cela! Pour la contraception orale, à mon sens la plus grande révolution du siècle dernier, il y a à mettre en balance le retour à la soumission, aux grossesses non désirées, à la vie sur terre avant Gregory Pincus etc. Bref au moyen âge. De même pour la péridurale qui est pourtant bien plus problématique que la CO: refuser la péridurale c'est revenir sur des décennies de progrès pour les femmes et leur bien être. Je laisse les femmes décider de leur sort, je ne m'oppose pas à elles. Je leur laisse le choix: risque d'IVG ou de grossesse non désirée, contraception mécanique (mauvais retour pour les DIU chez les nullipares) ou hormonale....A elles de faire le choix. Bon courage et ne pas perdre confiance!
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Utilisateur anonyme a posé une question
Il y a 3 ans
Bonjour. Mon message n’est pas super joyeux. Mais voilà. Je suis lassé de la défiance grandissante des patientes envers nous. Les différents scandales des pilules de 3ème et de 4ème génération et le #Metoo dénonçant des cas de violences gynécologiques, ont jeté l’opprobre sur notre profession. Notre parole est sans cesse remise en doute, on ne nous fait plus confiance. Exemple, en ce moment, certaines patientes enceintes refusent catégoriquement de se faire vacciner contre la grippe. Dans certains cas, il m’arrive même de faire face à de l’agressivité, de la part des patientes, ou de leur entourage. Bref, j’ai le blues ! Et vous ? Merci. Eddie
3 ans
Bonjour, Merci d avoir eu le courage d'écrire et de décrire ce mal être que bon nombre d entre nous ressentons. Les réseaux sociaux ,internet,le"je veux tout de suite" et "je sais tout" nous acculent chaque jour . La desertification médicale fait que les patients paniquent de ne pas avoir de rv et agressent notre personnel et imposent un rv immédiat . Aujoudhui,les parents sont enseignants,les patients sont médecins!!!Internet devient la bible . Désormais,il ne faut aucune contrainte:l observance de la pilule est insurmontable..et "on ne sait jamais avec les hormones" En salle de naissance,les parturiantes veulent poser elles même l indication d épisiotomie ou de césarienne. La défiance est partout en médecine, en politique... .On ne fait plus confiance en son médecin,en sa médecine..... Quelques excitées en trés faible nombre pensent faire le buzz en dénonçant une violence de nos actes mais le jour où nous les écouterons et qu il y aura un probléme,elles seront les première à nous conspuer devant le tribunal qu elles auront mandater!! Moi aussi ,je traverse ces traversées du désert mais quant une patiente vient avec des fleurs pour vous remercier d avoir fait un beau diagnostic,quand une maman vous met son bébé dans les bras pour vous congratuler parc e que vous lui avez donné un traitement d induction et l avez accompagée pendant la grossesse,je me nourris de ces moments . Apprenons à nos collaborateurs que l 'agressivité des patients est liée à l angoisse de ne pas être soigné. Relevons la tête et soyons fiers de nous, de notre métier et faisons notre métier avec nos connaissances et nos convictions, Nadine
3 ans
personnellement , je refuse de continuer à suivre des patientes déraisonnables qui n'hésiterons pas à nous faire supporter les conséquences de leurs mauvaises décisions. Nous sommes peu nombreux et pouvons trier notre clientèle.
3 ans
bonjour Eddie je comprend très bien votre désarroi et le partage;la relation de confiance a changé,celà implique pour nous également de nous remettre en question,mais par contre rester ferme sur nos convictions légitimes; les cabinets débordent,il existe une pénurie de médecins alors ne stressez pas,pour une patiente insatisfaite de vos réponses, 10 le seront; le vaccin contre la grippe est utile et très largement recommandé; j'ai failli perdre un de mes enfants à l'occasion d'une grippe maternelle; soyez ferme et résolu mais empathique; nous faisons quand même un très beau métier,alors soyez fort! cordialement
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Utilisateur anonyme a posé une question
Il y a 4 ans
Bonjour à tous, j'ai vu que l'ANSM précise qu'une fiche d'information, déjà disponible sur son site, va être adressée aux médecins prescripteurs et aux pharmaciens d'ici fin juin. Ce document devra être remis obligatoirement aux patients. De plus, une attestation devra être signée chaque année par le patient et son médecin prescripteur et être remise au pharmacien pour toute délivrance d'androcur. Vous le prescrivez toujours malgré les risques? merci https://www.ansm.sante.fr/S-informer/Actualite/Acetate-de-cyproterone-Androcur-et-ses-generiques-et-risque-de-meningiome-publication-du-rapport-complet-de-l-etude-de-pharmaco-epidemiologie-Point-d-information
4 ans
Bonjour, prudence également avec le Lutenyl et le Lutéran. l'ANSM recommande, à titre de précaution, aux professionnels de santé :de ne pas prescrire d'acétate de chlormadinone ou d'acétate de nomégestrol en cas d'existence ou d'antécédent de méningiome : dans ces situations, LUTERAN, LUTENYL et leurs génériques sont contre-indiqués ;d'arrêter immédiatement et définitivement le traitement si un méningiome est diagnostiqué chez une patiente qui utilise ces médicaments ; la conduite à tenir devra être discutée avec un neurochirurgien.La prescrip-tion d'acétate de chlormadinone ou d'acétate de nomégestrol reste possible, mais impose aux professionnels de santé :d'informer les patientes de l'existence du risque de méningiome,d'évaluer ou réévaluer la balance bénéfice/risque pour chaque patiente, en tenant compte du risque de méningiome,de vérifier auprès des patientes l'absence d'antécédent de méningiome ou de méningiome en évolution connu,de prescrire ces médicaments dans le respect des indications autorisées par l'AMM (autorisation de mise sur le marché),de prescrire ces traitements aux doses les plus faibles possibles et sur une durée la plus courte possible.
4 ans
Non, d'autant plus que je le prescrivais pour des indications « « douteuses » type acné et hyperpilosité. C'était redoutablement efficace mais tant pis.
Utilisateur anonyme a posé une question
Il y a 4 ans
Bonjour, j'exerce en qualité de gynéco obstétricien à l'hôpital et nous sommes régulièrement amenés à réaliser des césariennes sans que le pédiatre soit présent sur place. Puis- je exiger a minima que le pédiatre soit physiquement dans l'établissement ou sur le site de l'établissement?
4 ans
Si la présence d'un pédiatre parmi les effectifs du secteur de naissance est exigée, il ne résulte pas de la règlementation l'obligation d'une présence physique au sein de l'établissement, dès lors qu'un système d'astreinte compatible avec l'impératif de sécurité est mis en œuvre.En conséquence, il est possible de considérer que la règlementation permet à ce qu'une césarienne programmée ou non puisse être réalisée au bloc obstétrical sans que le pédiatre soit physiquement présent en salle de naissance.
4 ans
bonjour,il y a deux type de cesariennes et la présence du pédiatre sur place ou rapidement contactable dépend de l'indication de la césarienne. La césarienne programmée à terme pour motif "maternel" ne necessite pas la présence du pédiatre (pas plus qu'un accouchement normal). La césarienne pour motif "foetal" (souffrance foetale, grande prématurité) necessite un pédiatre sur place.Actuellement la classification en code (rouge, orange, vert) oriente bien, code rouge correspond souvent à une indication foetale, code vert souvent une indication maternelle.il est aussi necessaire d'être rigoureux dans ses indications, l'indication éronnée sème le trouble et rompt la confiancecordialement
4 ans
bonjour, l ordre national des medecins doit apporter la réponse, il faut leur soumettre la question, confraternellement
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Utilisateur anonyme a posé une question
Il y a 4 ans
Bonjour, est ce que vous avez déjà été confronté à une patiente qui refuse un examen gynécologique? Quelle attitude adopter? merci
4 ans
"Le principe est clair depuis la loi Kouchner : aucun acte ou traitement ne peut être imposé à une personne qui s'y refuse, et sa volonté doit être respectée. S'agissant de sa santé, le patient reste libre mais aussi responsable de ses choix. C'est pour cela que, dès lors que la décision du patient met sa vie en danger, il est nécessaire le l'informer des conséquences de ses choix, afin de lui permettre de décider en toute connaissance de cause. Le texte précise toutefois que « le médecin » doit aller jusqu'à tout « mettre en oeuvre » pour le convaincre d'accepter les soins indispensables. Vous pouvez également l'orienter vers un confrère."
4 ans
Bonjour, Il est bien certain qu'on ne peut imposer des soins à une patiente surtout dans le contexte actuel. Il est bien évident que si les soins sont impératifs, il faut prévenir l'ordre des médecins. et tu peux voir également si le contact passe mieux avec un autre médecin...
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Utilisateur anonyme a posé une question
Il y a 4 ans
Bonjour, je crois beaucoup au DMP (dossier médiacal partagé) mais j'ai l'impression que les patients ne saisissent pas l'outil et ne font pas le nécessaire .. Rencontrez-vous le même problème ? Comment parlez-vous du DMP ? Merci de votre aide !
4 ans
Bonjour ,J'ai commencé à mettre en place le DMP en janvier 2018 avec le logiciel Efficience à ce jour j'ai alimenté 24 dossiers . Effectivement pour l'instant les patientes n'exploitent pas cette opportunité d'avoir accès à leur dossier Médical . Je suis Gynécologue Obstétricien libéral sans pratique hospitalière ni clinique .
4 ans
Bonjour Mr ou Mme,moi je n'y crois pas du tout, et ce pour l'avoir essayé.Cet espace est un véritable fourre tout, avec un classement très critiquable.J'ai opéré une patiente d'un cancer de l'ovaire et elle voulait faire sa chimiothérapie dans un autre établissement.Situation idéale pour utiliser le DMP.Pour moi, le dossier était simple : 1 seul séjour, 1 chirurgie et 1 résultat d'anapth.Tout se retrouve dispatché dans des sous dossiers différents, la RCP d'un côté la bio de l'autre l'anapath ailleurs ...on ne peut pas faire une lecture synthétique, linéaire ou avec tel ou tel filtre (ex je ne veux voir que ce que j'ai mis, ou tout ce qui concerne la cardio....Il aurait fallu donner au médecin traitant la charge de le mettre à jour avec une fiche de synthèse comportant les antécédents, le dernier examen, les traitements en cours et ce de façon structurée, téléchargeable par le spé sur son logiciel métier (compatible DMP).Libre ensuite à chacun de creuser et de regarder en détail les différents documents (et il aurait fallu des outils de lecture configurables)Là on aurait fait un bon en avant, un gain de temps de fiabilité, d'efficacité ...Encore un truc inventé par des gens qui ont 1 TGV de retard dans la cervelle.
4 ans
Actuellement retraite en Espagne:Le dossier partagé est instauré ici depuis x ansLa population n exploite pas le DMP ,mais c est une grande avancée pour le suivi et pour ne pas multiplier les actesMme Buzyn a du travail …..
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Utilisateur anonyme a posé une question
Il y a 4 ans
Bonjour, j'ai entendu parler d'une technologie qui permettrait d’éviter des naissances traumatiques et des césariennes inutiles, selon ses concepteurs. Une affirmation sans preuve scientifique. Est-ce que quelqu'un aurait testé? qu'est ce que vous en pensez? Prédire à l’aide de l’imagerie par résonance magnétique (IRM) les chances d’accoucher par voie basse: telle est la promesse de la méthode SIM 37, proposée aux futures mères par une clinique de Stains, en région parisienne. Réalisée à la 37ème semaine d’aménorrhée, la technique repose sur la modélisation en 3D du fœtus et du canal de naissance (bassin, utérus, vagin de la mère). Elle permettrait, selon ses promoteurs, de simuler virtuellement le passage du bébé afin de savoir à l’avance si un accouchement par voie basse est possible ou si une césarienne doit être programmée. http://sante.lefigaro.fr/article/des-gynecologues-alertent-sur-une-technique-qui-pretend-reduire-les-risques-de-l-accouchement/
4 ans
ce sont des protocoles de recherche, pas des soins courants. Très séduisant mais pas de démonstration suffisante pour l'instant.
4 ans
Bonjour,La technique modélise uniquement le bassin.Les références utilisées pour faire les calculs avancés ne sont pas données.D'autre part, le calcul ne tient pas compte des modifications de forme et de taille du bassin liées aux changements de position de la patiente en cours d'accouchement.En dehors d'augmenter potentiellement le taux de césarienne, l'intérêt réel de la technique n'est donc ni démontré, ni réel.
4 ans
Bonjour.examen n ayant jamais fait la preuve de son intérêt. Aucune publication scientifique.forte opposition du college national des gyneco obst français qui voit uniquement du marketing.donc.....inutile, non prouvé, fausse réassurance, excès de cesarienne.....
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Utilisateur anonyme a posé une question
Il y a 4 ans
Bonjour à tous, je suis tombée sur des recommandations de l'ANSM: *l’utilisation d’acétate de chlormadinone ou d’acétate de nomégestrol est contre-indiquée en cas d’existence ou d’antécédent de méningiome. * si un méningiome est diagnostiqué chez une patiente traitée par de l’acétate de chlormadinone ou de l’acétate de nomégestrol, le traitement devra être arrêté immédiatement et définitivement, et la conduite à tenir devra être discutée avec un neurochirurgien. Aussi, en cas de prescription d’acétate de chlormadinone ou d’acétate de nomégestrol, les professionnels de santé devront : *Informer les patientes de l’existence du risque de méningiome, (Ré)-évaluer la balance bénéfice/risque pour chaque patiente, en tenant compte du risque de méningiome, *Vérifier auprès des patientes l’absence d’antécédent de méningiome ou de méningiome en évolution connu, *Prescrire dans le respect des indications autorisées par l’AMM, *Prescrire aux doses les plus faibles possibles et sur une durée la plus courte possible. Pour autant ces signalements ne permettent pas de conclure, à ce stade, que les femmes qui utilisent ces médicaments présentent un risque de méningiome plus élevé que celui observé dans la population générale. Qu'en pensez vous?
4 ans
BonjourPour ma part j'ai toujours respecté les recommandations actuelles et avant même les publications de ansm.Quant a informer les patientes d'un risque potentiel, c'est une utopie .Le tabac tue et tout le monde le sait , rétablissons un lien de confiance et de transparence avec la population.
4 ans
En fait ce qui est important c'est de ne pas prescrire ces traitements à une femme porteuse d'un méningiome. Donc si ce traitement s'avère nécessaire, faire une IRM auparavant, mettre au courant la patiente des risques puis prescrire la dose la plus faible compatible avec le résultat escompté. Bien sûr rester attentif ensuite à tout signe évocateur d'un méningiome.
Utilisateur anonyme a posé une question
Il y a 4 ans
Bonjour, je voulais vous recommander un opérateur de téléconsultation que j’ai testé, Leah. J’en suis très satisfaite. Vous avez juste besoin d’une connexion internet et d’une webcam. À l’issue de la téléconsultation, vous remettez une ordonnance médicale au patient dans l'outil, également disponible par mail. En fait, l’encadrement juridique de la téléconsultation m’a permis de légaliser une pratique qui était déjà courante pour moi : échanges de mails avec patientes, SMS, téléphone, surtout lors de rendus ou d'explications d'analyses... et consacrer plus de temps aux patientes et moins de temps aux ta^ches administratives. Cela présente des avantages pour les patientes suivies au cabinet mais habitant à l’étranger ou loin du cabinet médical. Et je vous le recommande dans le cadre du suivi de patientes dans le cadre de la stérilité. Avez-vous d’autres retours d’expérience ? au plaisir d'échanger,
4 ans
Bonjour. J'ai essayé d'aller voir sur le site de Leah comment ça fonctionne, mais ils n'expliquent rien. Ils proposent juste une démo... Mais je n'ai pas envie de me faire accrocher par un vendeur sans savoir si le produit va m'intéresser.Je fais essentiellement des expertises médicales et des avis médicolégaux. Peux-tu me dire vite fait comment fonctione ce produit et les avantages que tu en tires ?Si ton produit fonctionne, que cherches tu dans une communauté ? Tu penses qu'on peut développer une autre façon d'utiliser le produit ?
Utilisateur anonyme a posé une question
Il y a 4 ans
Bonjour à tous, j'ai vu que l'ANSM précise qu'une fiche d'information, déjà disponible sur son site, va être adressée aux médecins prescripteurs et aux pharmaciens d'ici fin juin. Ce document devra être remis obligatoirement aux patients. De plus, une attestation devra être signée chaque année par le patient et son médecin prescripteur et être remise au pharmacien pour toute délivrance d'androcur. Vous le prescrivez toujours malgré les risques? https://www.ansm.sante.fr/S-informer/Actualite/Acetate-de-cyproterone-Androcur-et-ses-generiques-et-risque-de-meningiome-publication-du-rapport-complet-de-l-etude-de-pharmaco-epidemiologie-Point-d-information
4 ans
Pour ma part je ne prescris plus d'androcur compte tenu des risques medico legaux bien superieurs aux risques du medicament....modeste gynecologue de province de 60 ans
4 ans
Bonjour, je prescris avec prudence l acétate de cyproterone à des doses d un quart de comprîmes de 50 mg/ jour pour des durées limitées . C est la seule molécule anti androgènes assez puissante pour traiter des hyper androgenie ovarienne non tumorales. La question du méningiome, risque connu depuis longtemps est abordée et relativisée. Ce tissu concerne d autres progestatifs comme le nomegestrol . Dans ma carrière je n ai rencontré qu un cas avéré si avait reçu 50 mg par jour 20 ans . Cette patiente de 55 ans présentait un méningiome surveillé par IRM . Si la patiente est trop anxieuse . Landrocur n est pas prescrit. Pour des traitements au long cours une IRM de T0 est proposée. Le méningiome est une tumeur benigne spontanée non rare chez la femme. En conclusion dans les hyper androgènes liées à un syndrome de l ovaire micropolykystique on peut après information, avant FIV, initier des traitements de quelques semaines ou mois pour modérer les effets dès androgènes ovariens.a des doses de 12 à 13 mg / jour avec surveillance des androgènes. La signature d une information ne soustrait pas à des règles de surveillance adaptées avec un motif des examens clairement motivé. (Risque modéré de méningiome). Dr Jean Paul chirurgien Fiviste dans centre Pierre Cherest 92200 Neuilly sur Seine
4 ans
Bonjour,je ne prescris plus androcurj'informe les patientes du faible risque quand elles prennent Diane.recemment 2 patientes étaient en attente d'un scanner cérébral prescrit par le médecin traitant suite à la prise prolongée d'androcur prescrit par des endocrinologues.Je reste très disponible pour les informer.
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